Bart Maes

Le cœur ne développe pas de cancer en présence d’un plus grand dosage de sel.

Le docteur Michael Alderman, directeur du département d’épidémiologie de l’école de médecine Albert Einstein, dans le Bronx, à New York, a une opinion claire sur le sujet :

« Une carence en sel, augmente le risque de mort subite. »

Dans un article paru en 1970 dans le « Lancet », où il rendait compte de son étude sur 11 346 Américains, il concluait qu’une augmentation de 1 gramme de l’absorption de sel réduisait de 10 % le risque d’insuffisance cardiaque.

Suivre un régime pauvre en sel fait plus de mal que de bien. Il a également découvert que manger moins salé entraîne une constriction des vaisseaux sanguins et libère une hormone accroissant le risque de crise cardiaque. ¹

En 2006, The American Journal of Medicine a publié que : “le risque de décès augmente de 28 % et celui de mourir des suites d’une maladie cardiaque ou vasculaire, de 37 % si l’on mange trop peu salé (moins de 6 grammes de sel par jour).”

Comme si cela ne suffisait pas, une vaste étude menée sur 207 729 personnes âgées de 25 à 75 a conclu qu’il existait un lien entre une alimentation moins salée et un risque accru de décès. ² Ceux qui absorbaient le moins de sel (1,7g à 2,64 g) couraient le risque de mortalité le plus élevé en général et d’insuffisance cardiaque en particulier. Ceux qui consommaient le plus de sel (7,89 g à 11,52 g) couraient le risque le plus faible de mortalité et d’insuffisance cardiaque en particulier.

De tous les organes, le cœur est celui ayant la plus haute teneur en sel. Et ce, afin d’assurer de façon optimale les influx nerveux et contractions musculaires. Le cœur a besoin de plus de sel que les autres organes.
Vous êtes-vous déjà demandé pourquoi le cœur ne pouvait pas développer de tumeur cancéreuse ? Selon le Coréen Park Si-Woo, cela est dû à la plus grande concentration de sel dans le cœur. Le sel de bambou et les algues marines sont un supplément idéal afin de compléter votre sel et vos oligoéléments³.